(Refrain) Une fleur au chapeau,
A la bouche une chanson,
Un coeur joyeux et sincère,
Et c’est tout ce qu’il faut
A nous autres bons garçons
(variantes : à nous filles et garçons ; à nous autres gais lurons)
Pour aller au bout de la terre.
1 – Vous qui nous regardez passer
Sous le soleil ou sous l’orage,
Peut-être bien que vous pensez
Que nous avons bien du courage
Pour ainsi nous harasser
A courir, le long des routes.
Vous ne savez ce que c’est,
Vous n’aurez jamais sans doute…
2 – Ah comme nous serions heureux,
Si nous pouvions, la vie entière,
Courir par les chemins poudreux (ou ombreux)
Ou sur les routes familières
Depuis les sommets neigeux
Jusqu’au bord des mers profondes.
A travers nos cris joyeux,
Nous dirions au vaste monde :
3 – Hélas il n’en est pas ainsi,
Et notre tâche est plus aride.
Mais il y faut du cœur aussi,
Il faut aussi des bras solides
Pour combattre sans merci
La laideur et la paresse.
A travers luttes et soucis,
Il nous faut garder sans cesse :
Ajouté à la base le : 28 février 2022
Par : Emilie G
Histoire du chant
Ce chant a été publié pour la première fois dans La Fleur au chapeau, chansonnier pour la route et le camp de William Lemit (1937)
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(Refrain) Une fleur au chapeau,
A la bouche une chanson,
Un coeur joyeux et sincère,
Et c’est tout ce qu’il faut
A nous autres bons garçons
(variantes : à nous filles et garçons ; à nous autres gais lurons)
Pour aller au bout de la terre.
1 – Vous qui nous regardez passer
Sous le soleil ou sous l’orage,
Peut-être bien que vous pensez
Que nous avons bien du courage
Pour ainsi nous harasser
A courir, le long des routes.
Vous ne savez ce que c’est,
Vous n’aurez jamais sans doute…
2 – Ah comme nous serions heureux,
Si nous pouvions, la vie entière,
Courir par les chemins poudreux (ou ombreux)
Ou sur les routes familières
Depuis les sommets neigeux
Jusqu’au bord des mers profondes.
A travers nos cris joyeux,
Nous dirions au vaste monde :
3 – Hélas il n’en est pas ainsi,
Et notre tâche est plus aride.
Mais il y faut du cœur aussi,
Il faut aussi des bras solides
Pour combattre sans merci
La laideur et la paresse.
A travers luttes et soucis,
Il nous faut garder sans cesse :
(Refrain) Une fleur au chapeau,
A la bouche une chanson,
Un coeur joyeux et sincère,
Et c’est tout ce qu’il faut
A nous autres bons garçons
(variantes : à nous filles et garçons ; à nous autres gais lurons)
Pour aller au bout de la terre.
1 – Vous qui nous regardez passer
Sous le soleil ou sous l’orage,
Peut-être bien que vous pensez
Que nous avons bien du courage
Pour ainsi nous harasser
A courir, le long des routes.
Vous ne savez ce que c’est,
Vous n’aurez jamais sans doute…
2 – Ah comme nous serions heureux,
Si nous pouvions, la vie entière,
Courir par les chemins poudreux (ou ombreux)
Ou sur les routes familières
Depuis les sommets neigeux
Jusqu’au bord des mers profondes.
A travers nos cris joyeux,
Nous dirions au vaste monde :
3 – Hélas il n’en est pas ainsi,
Et notre tâche est plus aride.
Mais il y faut du cœur aussi,
Il faut aussi des bras solides
Pour combattre sans merci
La laideur et la paresse.
A travers luttes et soucis,
Il nous faut garder sans cesse :